Sajtinac Production
00.50.16 (Ordinateur 2D, couleur)
Ce film est la chronique d’une croisière imaginaire et symbolique à la découverte de l’Europe de la mythologie grecque à nos jours.
De l’enthousiasme des pères fondateurs - au sortir de la Deuxième Guerre Mondiale - à ses difficultés actuelles, le navire EUROPE lutte contre vents et marées pour affirmer et défendre son existence.
Films
Le cinéma de Sajtinac
Pour la carrière des films de Sajtinac, veuillez consulter la filmographie
Le tueur de Montmartre, 2007
Sajtinac Production
00:50:02 (Ordinateur, 2D, couleur)
Ce film raconte l’histoire d’un tueur en série qui finira par rencontrer son maître.
Secondé par sa femme, Hélène, dans l’écriture du scénario et la production, Sajtinac travaille pendant 3 ans à ce projet. Il s’agit d’un mélange de dessins et de photographies retravaillées.
Renaud Barbier (www.renaud-barbier.com) en compose et dirige la musique originale.
Les voix de Stefan Godin et Lucienne Kahn complètent le générique.
Sorti en 2007, Le tueur de Montmartre, qui n’avait trouvé aucune
aide officielle, est une production entièrement financée par Louis XVI
(La vente d’une commode a permis sa réalisation...).
Le film, présenté dans de nombreux festivals internationaux,
remportera 4 grands prix.
Disponible en VOD sur Arte.fr
(Pour plus de détails, veuillez consulter la filmographie)
Musique © Renaud Barbier
00:50:02 (Ordinateur, 2D, couleur)
Ce film raconte l’histoire d’un tueur en série qui finira par rencontrer son maître.
Secondé par sa femme, Hélène, dans l’écriture du scénario et la production, Sajtinac travaille pendant 3 ans à ce projet. Il s’agit d’un mélange de dessins et de photographies retravaillées.
Renaud Barbier (www.renaud-barbier.com) en compose et dirige la musique originale.
Les voix de Stefan Godin et Lucienne Kahn complètent le générique.
Sorti en 2007, Le tueur de Montmartre, qui n’avait trouvé aucune
aide officielle, est une production entièrement financée par Louis XVI
(La vente d’une commode a permis sa réalisation...).
Le film, présenté dans de nombreux festivals internationaux,
remportera 4 grands prix.
Disponible en VOD sur Arte.fr
(Pour plus de détails, veuillez consulter la filmographie)
Musique © Renaud Barbier
Les films réalisés en Allemagne
Entre 1972 et 1981, Sajtinac réalise en Allemagne six courts métrages
et un long métrage :
Libération du personnage principal, 1973
Black Power, 1973
Nous sommes nombreux, 1974
Jeux de mots, 1975
Cirque ABC, 1976
Le Maître est le seul film encore conservé, les autres ayant changé plusieurs fois de propriétaires, restent introuvables.
Le Festival d’Oberhausen possède quelques copies dont une partie est digitalisée.
Le Maître, 1981
En 1981, Sajtinac est pressenti par la chaîne allemande ZDF pour réaliser un court métrage d’animation. Le film est produit à la façon classique (dessins sur papier, cellulos, banc-titre).
Dans ce film, nous sommes témoins de la vie austère qui règne dans un couvent dont le véritable maître n’est autre que le Diable.
Après ce projet, Sajtinac se détourne de la méthode classique pour reprendre, 15 ans plus tard, la réalisation en numérique.
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1978
En 1978, Stockmann-Filmproduktion sort ce long métrage d’animation.
Il s’agit d’une compilation de tous les courts métrages réalisés en Yougoslavie et en Allemagne, enrichie de 20 minutes de nouveau matériel.
Franz et Martha, couple bizarre, sont en train de s’installer dans leur nouvelle maison. Alors que Martha dort tranquillement, Franz est hanté par des cauchemars.
Ce film s’inspirant fortement du court métrage de 1970 réalisé en Yougoslavie, le titre en a été conservé.
et un long métrage :
Libération du personnage principal, 1973
Majic KG Filmproduktion
00:09:00 (35 mm, couleur)
Black Power, 1973
Oase-Filmproduktion
00:03:00 (35 mm, couleur)
Nous sommes nombreux, 1974
Oase-Filmproduktion
00:08:30 (35 mm, couleur)
Jeux de mots, 1975
Oase-Filmproduktion
00:08:30 (35 mm, couleur)
Cirque ABC, 1976
Stockmann-Filmproduktion
00:10:00 (35 mm, couleur)
Le Maître est le seul film encore conservé, les autres ayant changé plusieurs fois de propriétaires, restent introuvables.
Le Festival d’Oberhausen possède quelques copies dont une partie est digitalisée.
Le Maître, 1981
Carrousel-Film
00:10:30 (16 mm, couleur)En 1981, Sajtinac est pressenti par la chaîne allemande ZDF pour réaliser un court métrage d’animation. Le film est produit à la façon classique (dessins sur papier, cellulos, banc-titre).
Dans ce film, nous sommes témoins de la vie austère qui règne dans un couvent dont le véritable maître n’est autre que le Diable.
Après ce projet, Sajtinac se détourne de la méthode classique pour reprendre, 15 ans plus tard, la réalisation en numérique.
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1978
Stockmann-Filmproduktion
Long métrage 01:20:00 (35 mm, couleur)En 1978, Stockmann-Filmproduktion sort ce long métrage d’animation.
Il s’agit d’une compilation de tous les courts métrages réalisés en Yougoslavie et en Allemagne, enrichie de 20 minutes de nouveau matériel.
Franz et Martha, couple bizarre, sont en train de s’installer dans leur nouvelle maison. Alors que Martha dort tranquillement, Franz est hanté par des cauchemars.
Ce film s’inspirant fortement du court métrage de 1970 réalisé en Yougoslavie, le titre en a été conservé.
Les courts métrages yougoslaves
Entre 1970 et 1972, Sajtinac réalise pour Neoplanta-Film en Yougoslavie
7 courts métrages d’animation:
La fontaine de jouvence (avec Nikola Majdak), 1969
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1970
Tentation, 1971
Le chemin vers le voisin, 1971
La jeune mariée, 1971
Don Quichotte, 1972
Triomphe, 1972
En octobre 1972, il quitte le pays et s’installe en Allemagne où il poursuit ses activités de réalisateur.
En 1999, pendant les bombardements en Yougoslavie, la plupart des négatifs de ses films seront détruits ou perdus. Quelques rares copies disséminées ici et là sont les seuls témoins de ce travail.
La jeune mariée, 1971
En 1971, Sajtinac réalise 3 courts métrages. La jeune mariée raconte l’histoire d’une femme courtisée par de nombreux passants auxquels elle résiste pour finir par choisir un fiancé inattendu.
Ce film obtient la même année le Grand Prix du Festival d’Animation d’Annecy.
La tentation, 1971
La tentation raconte l’histoire d’un personnage perdu dans les méandres
d’une ville fictive. Il faut y voir la parabole d’un individu prisonnier d’un
système surréaliste.
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1970
Avec Tout ce qui vole n’est pas oiseau, Sajtinac signe en 1970 sa première propre réalisation. Le film décrit les affres d’un personnage en train de rénover sa maison face à un monstrueux oiseau qui le terrorise et l’opprime.
Il faut le lire comme une parabole de l’invasion soviétique de 1968 en Tchécoslovaquie.
Pendant le festival allemand d’Oberhausen en 1970, le film a été vivement attaqué, en particulier par les cinéastes des pays communistes sud américains.
La fontaine de jouvence (avec Nikola Majdak), 1969
00:09:30 (35 mm, couleur)
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1970
00:08:44 (35 mm, couleur)
Tentation, 1971
00:09:00 (35 mm, couleur)
Le chemin vers le voisin, 1971
00:03:00 (35 mm, couleur)
La jeune mariée, 1971
00:08:11 (35 mm, couleur)
Don Quichotte, 1972
00:08:30 (35 mm, couleur)
Triomphe, 1972
00:08:00 (35 mm, couleur)
En octobre 1972, il quitte le pays et s’installe en Allemagne où il poursuit ses activités de réalisateur.
En 1999, pendant les bombardements en Yougoslavie, la plupart des négatifs de ses films seront détruits ou perdus. Quelques rares copies disséminées ici et là sont les seuls témoins de ce travail.
La jeune mariée, 1971
Neoplanta-Film
00:08:11 (35 mm, couleur)En 1971, Sajtinac réalise 3 courts métrages. La jeune mariée raconte l’histoire d’une femme courtisée par de nombreux passants auxquels elle résiste pour finir par choisir un fiancé inattendu.
Ce film obtient la même année le Grand Prix du Festival d’Animation d’Annecy.
La tentation, 1971
Neoplanta-Film
00:09:00 (35 mm, couleur)La tentation raconte l’histoire d’un personnage perdu dans les méandres
d’une ville fictive. Il faut y voir la parabole d’un individu prisonnier d’un
système surréaliste.
Tout ce qui vole n’est pas oiseau, 1970
Neoplanta-Film
00:08:44 (35 mm, couleur)Avec Tout ce qui vole n’est pas oiseau, Sajtinac signe en 1970 sa première propre réalisation. Le film décrit les affres d’un personnage en train de rénover sa maison face à un monstrueux oiseau qui le terrorise et l’opprime.
Il faut le lire comme une parabole de l’invasion soviétique de 1968 en Tchécoslovaquie.
Pendant le festival allemand d’Oberhausen en 1970, le film a été vivement attaqué, en particulier par les cinéastes des pays communistes sud américains.
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